PANAMA CITY


18 Mars - 20 Mars 

Il ne reste déjà plus que 2 jours avant le retour en France de ma famille. Nous quittons Bocas del Toro pour rejoindre l’agitation de la capitale. 
Nous partons sous le soleil, ce qui n’empêche pas quelques secousses lors du vol. Heureusement pour nous, il n’y a que 45 minutes. 


Les grandes villes n’étant décidément pas de notre goût, nous privilégions le confort de l’hôtel. C’est étrange de revenir à ce type d’hébergement, mais ce n’est pas pour nous déplaire. Cela nous fait également prendre conscience qu’une fois de temps en temps s’accorder ce plaisir peut vraiment être ressourçant. 

Bref, nous voici à la conquête de ce monstre urbain où les gratte-ciel surplombent la côte pacifique, et les hôtels affichent un luxe arrogant. Nous usons très largement de notre ami Uber. Nous visitons d’abord l’incontournable « Casco viejo » en plein ravalement de façade. Il s’agit du centre historique, seule zone ayant préservée le style coloniale de ses rues et de ses bâtiments.







La visite est agréable et nous nous laissons tenter par l’envie de goûter aux roof top. Là encore les prix sont similaires à ceux de l’Europe et toujours exprimés en dollars. 

Le lendemain nous faisant un tour au Bio musée qui n’est pas inintéressant. Nous en apprenons un peu plus sur l’importance historique de l’isthme du Panama dans le changement climatique des courant océaniques. Quant à son parc, c’est un vrai poumon citadin qui se transforme en terrain de jeux pour les oiseaux. 
Tout cela nous ayant donné faim, nous partons à la conquête d’une langouste, objectif majeur du séjour. Malheureusement nous tombons en pleine période de restriction de pêche... 
Nous sommes sur le point de perdre espoir lorsque nous abordons le marché. Véritable emblème de la ville, nous y croisons de gros poissons, mais surtout nous trouvons notre bonheur !


Pris à son propre jeu

Enfin, pour clôturer ce séjour en beauté nous grimpons haut sur... la Trump Tower. J’ai honte d’avoir indirectement accordé argent, temps et intérêt à ce personnage infâme. Mais je dois l’avouer, la vue était à couper le souffle. 


Despues ~ San Blas 

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