Bilan


Le Mexique ! Comment le résumer en seulement quelques lignes ? 

Il y a : 

- ces bus qui roulent la porte ouverte (au cas où ils arriveraient à placer une dernière personne entre le poulet et le chauffeur déjà étouffés)
- ces petites supérettes plus nombreuses que les habitants



- ces enseignes à t’en faire perdre la tête 
- ces vendeurs de rues qui parfois ne savent pas eux-mêmes à quoi servent leurs produits
- ces chiens en meutes ou solo
- ces cireurs de chaussure encore bien présent
- ces pharmacies qui vendent chips et sucreries
- ces trottoirs du chiapas qui te donnent l’impression de gravir l’Everest
- ces sirènes de police tout droit sorties d’un dessin animé 
- ces feux d’artifices en toute occasion
- ces murales qui habillent les rues



- ces pâtisseries plus colorées qu’appétissantes 



- ces sites mayas 


Mais il y aussi : 

- ces odeurs de barbecue omniprésentes 
- ces marchés artisanaux qui te font regretter de ne pas retourner en France pour pouvoir tout ramener avec toi


- ces sourires et cette gentillesse des mexicains



- ces paysages tous plus différents que somptueux






- Ces stands de rue où l’on mange bien mieux qu’au restaurant 


- Ces zocalos ombragés


- Cette festivité ambiante
- La musique qui n’est jamais bien loin



Bref, je pourrais encore en rajouter. Et pourtant notre arrivée a l’aéroport de Mexico Ciudad n’a pas débutée sous les meilleurs auspices, avec un arrêt aux douanes car notre justificatif de sortie ne suffisait pas.

C’est peut être l’une des seules fois où nous nous sommes fâchés avec ce pays. 
Et maintenant que nous l’avons quitté, les plus forts souvenirs qu’il nous reste de lui sont définitivement la gentillesse des gens, la nourriture qui nous a régalé tout au long du voyage, le mezcal avec qui nous nous sommes réconciliés, et un gros coup de cœur pour Bacalar. 


 



Nous partons tout de même avec le regret de ne pas avoir pu visiter le nord du pays. Mais c’est sans aucune hésitation que nous reviendrons pour lui accorder plus de temps. 

Nous n’avons plus qu’à souhaiter bonne chance à nos prochaines étapes pour arriver à la cheville de ce pays où le maïs règne en maître absolu. 


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