EQUATEUR - BILAN

C’est surpris que nous sommes arrivés en Equateur, et avec l’envie d’y revenir que nous le quittons. Et cela pour plusieurs raisons...

Nous avons dû faire des choix dans notre itinéraire car nous ne dédiions en réalité que 2 semaines de tourisme sur le mois passé ici, les deux autres semaines étant vouées au volontariat. Ayant déjà donné en terme de plage et de côte océanique, nous avons choisi de rester dans les terres. Ainsi nous avons commencé par la région andine non loin de la frontière, à Otavalo. C’est ainsi que nous avons pu constater que la culture était bien préservée. Pour autant nous avons eu à faire à des gens très accueillants et ouverts vers l’extérieur. 

Nous avons ensuite rejoint l’animation ou plutôt le calme de la capitale pour laquelle nous avons eu un vrai coup de coeur. Il y fait bon vivre et les points d’intérêts sont nombreux. 

Enfin, avant d’embrayer sur notre volontariat, nous avons opté pour une visite un peu plus sportive avec le trek de Quilotoa. Entre belles rencontres et vues époustouflantes, nous avons été servis. 

Pour clôturer le tout nous avons passé 2 semaines au Zoo Refugio de Tarqui où nous avons appris beaucoup auprès de William et Fanny. C’est une expérience unique de travailler avec des animaux (que pour certains nous n’avions encore jamais vu) que nous avons vécu. 

Nous avons été surpris par : 

- Les expatriations nombreuses des locaux 

- Leur amour inconditionné pour les glaces, même dans les villes les plus froides

- La sincérité et la sobriété des équatoriens en terme de relations humaines 

- Les rencontres avec nos premiers lamas

- Les spécialités culinaires : cochon d’inde grillé, vers au barbecue, etc

- Le marché des animaux 

- L’intérêt du pays pour la sécurité des touristes 

- Les infrastructures publiques dédiées au sport

Nous avons eu du mal avec : 

- La difficulté à trouver du vin rouge de qualité à bon prix 

- Les repas une fois de plus bien trop complets pour nous (overdose de riz et pomme de terre)

- Les escaliers qui n’en finissent plus 

Du reste, nous n‘avons pas passé assez de temps dans le pays pour se faire une juste opinion de ce dernier. Mais nous n’avons pas dit notre dernier mot. Voilà peut-être un pays qui s’ajoute à la liste de ceux où nous prévoyons un retour proche.